J’ai rejoint un groupe de formation après avoir été informée très amicalement de l’existence de Kolaimni par un praticien et formateur croisé « au hasard » de la vie …
Ouzouer-sur-Loire, un de ces mille villages ‘au milieu de nulle part’ ; et pourtant … passé le pas de la salle de formation où Emilie délivre ses sessions Kolaimni, il ne faut pas longtemps pour se sentir parfaitement à l’aise. Comme en famille. C’est immédiat et cela fait partie de Kolaimni. D’anciens stagiaires devenus praticiens passent dire bonjour, prennent le petit-déjeuner avec tout le monde, encouragent les ‘petits nouveaux’, et repartent tout aussi simplement … comment ne pas se sentir bien ?
Puis ce sont deux jours intenses qui alternent entre pratique, transmission de protocoles, témoignages poignants d’Emilie. Personnellement, ce qui fut le plus émouvant a été de valider enfin ce que mes mains faisaient seules depuis des années. Retrouver des gestes, des connections qui étaient apparues ‘comme par enchantement’ dans mes séances, et me dire que tout cela est donné. Car Kolaimni est un don, et je ne peux que l’attester. Je dirais également que je n’ai pas eu l’impression de chercher Kolaimni, c’est plutôt la Lumière qui s’est imposée à moi et j’ai été amenée à croiser les ‘bonnes’ personnes au moment où j’étais prête.
Les deux jours de Kolaimni 1 sont une base fondamentale qui permet déjà d’offrir des soins et un mieux-être incroyables. Nous sommes amenés à le vivre et le recevoir autant qu’à le donner et l’exprimenter en formation, ce qui permet, je pense, aux plus novices de se sentir à l’aise rapidement. Pour ma part, en dépit de mes découvertes empiriques auxquelles je ne donnais pas de nom, la session de Kolaimni 1 m’a donné un cadre, une ‘marche à suivre’ et un profond sentiment de légitimité à ne plus essayer de ‘cacher’ ce qui faisait sens pour moi depuis si longtemps.
Aujourd’hui, j’ai le sentiment d’avoir été accueillie dans une très grande famille de cœur
, dont je ne connais pas tous les membres mais sur laquelle je sais pouvoir compter. Autant qu’ils peuvent compter sur moi.
Comments